Une histoire érotique de domination féminine, de cage de chasteté, de féminisation et surtout de clitation. Un nouveau mot qui devrait rentrer prochainement au dictionnaire des gynarchistes.

• Nous nous sommes connus quand j’avais 25 ans, tu en avais 35. Nous faisions l’amour quasiment tous les jours, tu me baisais à me rendre folle. C’était le bon temps. Vrai ou faux ?

• Vrai mais pourquoi dis-tu le bon temps ?

• Je vais y venir. Quand j’ai eu 30 ans, tu en avais donc 40, tu as voulu jouer BDSM, que je sois ta soumise. Tu m’as fait faire des trucs que je n’ai parfois pas aimé, mais au moins, quand je devais faire la chienne, tu me sautais encore un peu. Par contre, en bonne soumise que je devais être, il fallait que je te fasse une pipe quasiment tous les soirs.

• Je ne vois toujours pas où tu veux en venir chérie !

• Tu vas vite comprendre. A partir de mes 35 ans, tu en avais donc 45, tu as commencé à prétexter le soir que tu étais fatigué, qu’il faisait trop chaud, que tu avais mal au dos. IL y avait toujours de bonne raison pour me délaisser. Nos rapports sexuels se limitaient presque aux fellations que je devais te faire.

• Ben oui mais j’ai énormément de travail et m’épuise. Désolé mais le soir j’ai besoin de dormir.

• Je comprends chéri, je comprends. Revenons à mon rappel des faits. Vers mes 40 ans, tu as eu envie que je sois ta Maîtresse, que je te fasse des choses. Encore une fois, par amour, je t’ai donné du plaisir BDSM. As-tu aimé chéri ?

• Oh oui, j’aime bien quand tu t’occupes de moi !

• Le problème est là, quand je m’occupe de toi ! A priori cela ne te suffisait pas, puisque tu te branlais tous les matins devant l’écran de ton ordinateur et que tu me délaissais totalement.

• Oh là, on se calme, tu exagères tout !

• Juste un peu mon amour, juste un peu, disons que je vide les poubelles presque tous les jours y compris celle de ton bureau où je trouve des Sopalins. J’ai envie de redevenir ta Maîtresse et de te donner à nouveau beaucoup de plaisir. Es-tu d’accord mon amour ? Indique Sabrina en ouvrant son peignoir sous lequel, elle a revêtu une tenue de dominatrice.

En voyant sa femme vêtue d’un ensemble affriolant de sous-vêtement en cuir noir, Paul a un coup au coeur. Elle lui demande de ne pas bouger et d’attendre la suite des surprises qu’elle a décidé de lui faire pour leur anniversaire de mariage. Elle l’abandonne un instant sur le canapé pour aller chercher une grosse et longue boite en carton. Après l’avoir posé sur la table, elle en sort une casquette en cuir noir et une cravache avec laquelle elle se met à jouer les allumeuses.

• Tu es belle chérie, oh que je t’aime quand tu joues ta salope.

• Je ne vais pas que jouer la salope, je vais le devenir chéri, je vais te faire grimper aux rideaux ! Lui indique Sabrina en faisant courir la pointe de sa cravache à l’intérieur des cuisses de son mari. Ouvre le carton et sort les instruments un après l’autre esclave.

Le mot « esclave » rappelle de très bons souvenirs à Paul, leurs petits jeux coquins où elle l’insultait en se faisant lécher les pieds, les fesses et la chatte quand elle lui faisait un facesitting en jouant avec son sexe attaché avec une corde. Il ouvre donc le carton dont il sort un gode ceinture trio avec trois godemichés, deux à l’intérieur et un devant.

• C’est pour qui ça mon amour ? C’est pour nous et ton petit cul. Je t’ai toujours refusé de te le faire, mais à présent j’ai changé d’avis, je veux te rendre heureux, ou heureuse si cela te fait plaisir.

• Tu es mon démon, ma reine, ma princesse, oh que je t’aime ! Dit Paul en affichant un sourire banane.

• Continue mon amour, continue, il y a d’autres surprise, j’ai dévalisé la boutique ABCplaisir pour justement, te faire plaisir mon amour.

Paul attrape une autre boite dans le carton. Sabrina y a réuni plusieurs articles destinés à la féminisation de son mari. Il n’en croit pas ses yeux et se demande comment elle a pu savoir qu’il avait ce fantasme. L’ordinateur de la maison garde beaucoup de chose en mémoire sur les navigateurs. C’est comme ça qu’elle a découvert qu’il avait des envies bien différentes qu’à leur débuts.

Sabrina lui demande d’essayer les tenues. Paul est très gêné, mais sa divine Maîtresse insiste en attrapant ses testicules dans une main, pour l’obliger à se lever. Il retire donc son short pour enfiler la culotte rose de sissy. A peine a t’il fini de la mettre qu’elle lui tend une robe de sissy assortie.

• Tu m’excites chéri, je crois qu’on va bien s’amuser tous les deux ! Lui indique Sabrina an caressant l’entrejambe de son mari.

Le contact de sa main avec le tissu satiné à travers la culotte, ne le laisse pas de marbre. Sabrina continue ses attouchements coquins en tapotant les fesses de son mari avec la cravache. La jolie culotte peine à contenir son érection.

• Je vois que cela te fait des choses petite salope !

Paul ne sait que répondre. Tant de surprises d’un seul coup, lui coupent son habituelle répartie. Maligne, Sabrina ne se presse pas pour parvenir à ses fins. Au contraire, elle joue les allumeuses avec son mari, qu’elle guide jusqu’à la table de la salle à manger où elle l’oblige à se pencher en avant, fesses offertes. Alors qu’il s’attend à recevoir quelques coups de cravache, elle se colle contre lui et mime un coït tout en le caressant de partout en même temps. A travers la robe de sissy, elle trouve ses petits tétons qu’elle titille de bon coeur, avant d’aller jouer avec la verge tendue, qui finit par sortir de la culotte de sissy.

• Et bien, dit donc, cela te fait des choses la féminisation mon amour ! Moi aussi je l’avoue, tu m’excites beaucoup comme ça. On va faire quelques photos ! Déclare Sabrina en attrapant son téléphone mobile.

Paul est très gêné qu’elle fasse des photos. Mais ce que femme veut, ...... surtout quand elle est aussi belle et convaincante qu’une Maîtresse décidée. Il prend donc des poses où on le voit avec un balai à la main, ou un plumeau à poussière. Elle pousse le vice jusqu’à lui donner un plateau, sur lequel elle pose un verre et sa cravache avant de faire d’autres photos ultra compromettantes.

• Oh chéri, il reste quelque chose dans le carton, cela doit être sous les feuilles d’emballage, regarde bien !

Paul retourne donc au carton et, en fouillant dans tous les papiers trouve un sac noir en tissu. Sabrina tend la main pour qu’il lui donne cette dernière surprise, avant d’aller s’asseoir sur le canapé. Elle lui demande de se mettre à genou devant elle, ouvre le sac en tissu dont elle sort une cage de chasteté Satanique, le denier modèle d’ABCplaisir. Elle la pose sur sa main et la tend à Paul en faisant une photo. Cette photo représente sa main avec la cage de chasteté en évidence et en arrière plan, Paul féminisé tout sourire en tendant la main. Plus compromettant, cela n’est pas possible mais, ça, il n’y pense pas.

• Tu vois chéri, j’ai découvert tes surfs sur Fessestivites. Je me suis dit que JE devais te faire plaisir. L’Amour avec un grand A est aussi de faire des concessions et de faire plaisir à son mari, n’est-ce pas ? Tes histoires érotiques m’ont surprise, je ne te savais pas des talents d’écrivain. Heureusement pour toi que tu as changé le prénom de la Maîtresse qui te martyrise, parce que la description de la maison et de mon physique auraient très bien pu permettre de nous identifier. ..... Oh sissy est toute rouge, il ne faut pas puisque je t’aime. On ne doit rien se cacher dans un couple, n’est-ce pas ?

Paul est très, très perturbé. Il remercie sa femme pour ses compliments sur ses talents d’écrivain, avant de lui dire qu’il a beaucoup exagéré dans ses histoires érotiques.

• Exagéré peut-être, mais le fond est là chéri. Tu as besoin que je sois une Maîtresse un peu plus ferme, cela tombe bien, c’est exactement mes envies du moment. Toi et moi mon amour, nous étions fait pour nous rencontrer. Regarde, après presque 20 ans de mariage, sexuellement nous sommes toujours totalement en phase. Allez, il faut que je te vois mettre cette cage de chasteté, j’ai beaucoup fantasmé à l’idée, que tu me donnes les clés par amour.

Si Paul s’était amusé à écrire et surtout délirer sur la cage de chasteté dans ses histoires érotiques, il n’est pas vraiment dans l’état d’esprit d’en confier les clés à sa femme. Entre les fantasmes et la réalité il y a souvent un fossé. Devant le visage souriant de sa femme en beauté, après tant de surprise il ne peut refuser. Cinq minutes de galère plus tard et quelques pincements de peau, la cage de chasteté Satanique est enfin posée. Sabrina tient à faire la photo où il lui tend les clés. Elle lui fait refaire et prendre des poses pour que la photo soit le plus réaliste possible.

• Merci chéri, je te promets d’être une Maîtresse attentive et sévère comme dans tes histoires érotiques. Et comme tu m’as beaucoup excitée ce soir, tu te dois de me faire jouir avec ta langue, un peu comme à nos débuts, quand tu me faisais jouir tous les soirs, avant de me défoncer à me rendre folle ! Murmure Sabrina en écartant les cuisses et sa culotte fendue.

Il est pour Paul à cet instant là, impossible de refuser de donner du plaisir à sa femme, après autant de surprises. A quatre pattes, la tête entre les cuisses de sa Maîtresse, il constate au généreuses et goûteuses sécrétions qu’elle est vraiment très excitée. Bien décidée à prendre du plaisir, cette fois Sabrina ne joue par, contrairement à toute la mise en scène précédente....

Prise dans la tourmente du plaisir, elle pose ses jambes sur le dos de Paul dont elle tire la tête par les cheveux, pour mieux guider la langue s’activant sur son intimité. Dix minutes plus tard, Sabrina se met à râler puis à crier sa jouissance.

• Cela faisait tellement longtemps que tu ne m’avais pas faite jouir que c’était divin esclave. Mais j’en veux encore. Lève-toi on va essayer avec le gode.

Paul ne comprend pas où elle veut en venir quand elle lui demande de se lever et entreprend de fixer le gode ceinture à sa taille. Elle retire les deux initialement prévus pour ses orifices avant de le boucler.

• Aller vient me prendre comme avant, debout contre la table ? J’adore cette position !

Avec des talons de 10 centimètres, penchée en avant sur la table, les belles jambes et le petit fessier de Sabrina sont comme un appel au v i o l. Paul n’aurait pas besoin d’un gode ceinture pour lui donner du plaisir, s’il n’avait pas sa verge écrasée et compressée dans le tube d’une cage de chasteté. « Si un godemiché ne remplacera jamais le plaisir d’un vrai sexe, cela reste quand même bien bon » se dit Sabrina après quelques coups de rein de son mari. La main plongée entre ses cuisses, elle se masturbe comme une folle pendant qu’il joue le rôle d’un sextoy.

• Regarde chéri comme mon amant me baise bien, prend des cours petite sissy cocu ! Crie Sabrina en plein délire en jouissant aussi mentalement de la réussite de son piège.

Paul comprend en entendant cette tirade, qu’elle a aussi lu son histoire érotique de cocufiage. Mort de honte qu’elle sache aussi qu’il a ce fantasme là, il ne dit rien et continue simplement de lui donner des coups de rein. Après plusieurs jouissances, elle avait tellement de retard.... elle le repousse et se met à genou devant lui pour sucer le gode ceinture.

• Je remercie la bite qui t’a fait cocu mon amour ! Lui indique Sabrina en le regardant dans les yeux, avant de retirer le gode ceinture. Allonge-toi sur le dos « cocu », tu dois lécher là où il m’a donnée du plaisir !

A présent sans volonté, l’ex Maître devenu esclave s’allonge sur le dos. Elle enjambe son visage en restant debout puis, sans aucune pudeur se met les doigts dans la chatte comme pour en extraire le sperme imaginaire. Paul la regarde sans comprendre la raison de tous et si soudains changements. Il ouvre la bouche et lèche les doigts qu’elle lui introduit sans ménagement, avant de devoir laper son sexe sentant fortement l’amour.

Quelques minutes plus tard, Sabrina se lève pour aller prendre une douche en le plantant au beau milieu du salon, avec tout ses questionnements. Son premier réflexe est alors de retirer cette tenue, qu’il trouve ridicule après avoir joué. Il cherche les clés de la cage de chasteté pour la retirer, mais ne les trouve pas. Au retour de sa femme, dix minutes plus tard, il lui demande où elles se trouvent.

• Ça mon chéri, je ne vais pas te le dire. Une nouvelle vie commence pour toi !

• Comment ? Allez, arrête des conneries donne-moi les clés ! Répond Paul sur le ton de la colère.

• Assied-toi sur le canapé, c’est mieux pour ce que j’ai d’important à te dire chéri !

Paul s’assoit donc pour écouter, ce qu’elle a de si important à lui dire.

• Si tu repasses dans ta tête la discussion du début de la soirée, tu auras une bonne partie des réponses. Tu sais, quand je t’expliquais qu’au début tu étais un homme formidable qui, au fil des années est devenu un gougea. Et oui, tu m’as complètement délaissée, tu préfères te branler devant ton ordinateur, en regardant des vidéos de domination féminine sur Fessestivites. Un sopalin nouveau tous les jours et ne me dit pas que c’était pour te moucher, ils puent le sperme froid. Ça sent fort le sperme, c’est une odeur qui ne trompe pas.

• Oh oh attend ....

• Ne me coupe pas, je n’ai pas fini ! Crie soudain Sabrina. J’ai envisagé de divorcer et ce soir, avec mes photos, j’ai fait un dossier à charge. Elles sont sur mon cloud de stockage de données. je les ai envoyées quand j’étais dans la salle de bain. Alors comme je t’aime toujours, à partir de maintenant il y a deux solutions. Soit nous divorçons et, entre les photos puis ce que j’ai copié comme données sur ton ordinateur, cela sera 100% à tes tords, je te laisse imaginer ta honte au tribunal quand cela sera dévoilé dans le dossier.

Paul s’étouffe en imaginant que ses confrères avocats tombent la dessus quand Sabrina se remet à parler.

• Soit tu deviens mon esclave, comme dans tes histoires érotiques.

• Mais c’est du chantage !

• Oui et non, disons plutôt que cela va être une reprise en main de mon mari ! A propos, elle est jolie Maîtresse Nadia ?

• Je ne sais pas, je ne l’ai pas rencontrée !

• Menteur ! Hurle Sabrina en lui donnant une gifle. Tu n’as pas de chance, je la connais, c’est une amie. Il ne s’est rien passé entre vous, je le sais aussi, parce qu’elle n’a pas voulu. Elle serait prête à témoigner si besoin était, je te dis ça comme ça ..... et peut-être même à grossir les choses......

• Tu es satanique !

• Oui, c’est pour ça que j’ai choisi la Cage de chasteté Satanique, elle me correspond bien !

EPILOGUE

Sabrina aime profondément son mari. Elle n’aurait jamais diffusé les photos, mais ça, Paul ne le sait pas. En réalité, elle s’est remise en cause car, si leur vie de couple et leur sexualité déclinait, elle avait obligatoirement une part de responsabilité, comme lui a indiqué son amie Nadia. Par contre, elle a très mal pris que Paul envisage d’aller se faire dominer par une autre femme. Ça ce n’est absolument pas passé ! Mais alors pas du tout et, quand une femme est en colère, il y a parfois danger.

Depuis ce week-end mémorable dans la vie de Paul, les choses ont beaucoup changé. L’effet cage de chasteté, l’a rendu plus amoureux de sa femme. Sabrina a bien compris qu’il ne faut jamais baisser la garde et que rien n’est définitivement acquis dans un couple. Elle entretient sa féminisation, sa soumission et, de temps en temps, pour lui faire plaisir quand il a été sage, elle utilise le gode ceinture. Avec le temps, elle devient un peu Phallique à sa façon.

Comme toute femme ayant quelque chose à reprocher à son mari, elle ne manque pas de revenir sur le fait qu’il obligeait sa soumise, à lui faire une pipe tous les soirs en la laissant sur sa faim. Elle a créer un nouveau mot : la « clitation ».

Paul doit souvent faire des « clitations » le soir, un peu comme quand elle devait lui faire des fellations. Là où Paul a très peur, c’est qu’un soir où il râlait, elle l’a menacé de prendre un amant et peut-être aussi de le faire sauter par un homme.

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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